La capsule Orion arrive au terme de son voyage autour de la Lune et doit amerrir aujourd'hui à 18h40 (France) dans le Pacifique.
C'est la dernière étape de la mission Artemis I qui mis à part quelques incidents techniques comme une perte momentanée de liaison radio s'est parfaitement déroulée mais c'est aussi l'un des moments critiques de la mission (avec le décollage) où la capsule va devoir effectuer une rentrée atmosphérique à grande vitesse, d'environ 40 000km/h comparé au 27 000km/h des missions de retour de l'ISS entraînant une décélération bien plus forte.
Cette étape permettra notamment de valider son bouclier thermique et le système de parachutes. Juste avant sa rentrée atmosphérique, la capsule Orion se séparera du module de service construit en Europe par l'ESA qui se désintègrera dans l'atmosphère.
La capsule Orion a amerri sans encombre pile à l'heure prévue, soit 18h40 (France).
La phase de rentrée atmosphérique est ponctuée de deux moments de perte de signal durant chacune quelques minutes. C'est sans doute le moment le plus stressant car durant ce laps de temps, tout contact radio est perdu et c'est une phase critique de la mission où le bouclier thermique subit les pires contraintes de chaleur et s'il y a la moindre anomalie la capsule se consumera dans l'atmosphère entraînant la perte de l'équipage. Cette perte de signal radio est due à l'ionisation de l'air autour de la capsule durant la décélération, créant des parasites rendant impossible toute liaison radio. Le freinage se fait en deux étapes afin que la force G soit supportable par l'équipage.
La capsule Orion a amerri sans encombre pile à l'heure prévue, soit 18h40 (France).
La phase de rentrée atmosphérique est ponctuée de deux moments de perte de signal durant chacune quelques minutes. C'est sans doute le moment le plus stressant car durant ce laps de temps, tout contact radio est perdu et c'est une phase critique de la mission où le bouclier thermique subit les pires contraintes de chaleur et s'il y a la moindre anomalie la capsule se consumera dans l'atmosphère entraînant la perte de l'équipage.
Cette perte de signal radio est due à l'ionisation de l'air autour de la capsule durant la décélération, créant des parasites rendant impossible toute liaison radio.
Le freinage se fait en deux étapes afin que la force G soit supportable par l'équipage.
Les images de l’amerrissage sur NASA TV